Mes entraîneurs 

 
 


Bernard Bachelet

Bernard fût mon tout premier et fidèle entraîneur. Il m'entraîna dès mes débuts à cheval, c'est à dire aux alentours de mes 7 ans jusque mes 15 ans, âge auquel mes parents ont décidé de m'offrir la possibilité d'avoir mes chevaux chez moi, et de pouvoir les travailler dans de bonnes conditions. (voir installations).
Bernard m'appris les "bases" de l'équitation et surtout le respect du cheval.
De son école sont sortis de nombreux trés bons cavaliers amateurs mais également professionnels tel Pierre Mathieu.
Aujourd'hui, Bernard partage toujours son savoir aux Chamborans, club hippique de Maubeuge et reste présent dans mon évolution en me faisant part de sa grande expérience.






Alexandra Francart

C'est en 2002, que nous partons à la recherche du premier cheval idéal. Par le biais de connaissances, nous prenons contact avec Hervé Francart, cavalier professionnel pendant de nombreuses années et qui a développé une écurie de concours et de commerce d'une cinquantaine de chevaux. Je n'y trouve pas de cheval mais repars avec une grande admiration pour sa fille Alexandra. Une équitation d'une fluidité parfaite, une osmose totale avec ses chevaux, elle devient trés vite, un modèle.
A 12 ans, je partais donc, pendant les vacances scolaires en stage, chez elle, à Sedan dans les Ardennes. Avec ou sans mon cheval, le principal était d'apprendre, observer, monter, et ce toute la journée.
Je complétais alors avec l'enseignement de Bernard Bachelet.
Nous nous retrouvons aujourd'hui parfois sur les mêmes terrains de concours. C'est toujours avec plaisir qu'elle me fait part d'excellents conseils.




Marc Bettinger

C'est au concours international de Maubeuge que, grâce à une amie, je fais la connaissance de Marc. Non seulement Marc est un excellent cavalier mais il est surtout d'une gentillesse et d'une humilité remarquable. A la fin du week end de concours, je décide de lui demander s'il accepterait que je vienne travailler chez lui pendant mes grandes vacances avec mon cheval, Maverick. C'est avec grand plaisir qu'il accepte.
A 15 ans je vis alors l'une de mes plus belles et enrichissantes aventures. Pendant 3 semaines, je ne me nourris que de ma passion. Je monte en moyenne 10 chevaux par jour, des jeunes, des chevaux de commerces mais aussi ses chevaux de grands prix. Je travaillais mon cheval tous les jours, voire 2 fois par jours avec Marc. 
Là, je voyais le quotidien d'un cavalier professionel et commerçant. Je pense que c'est à partir de ce moment là que mon rêve a vraiment pris forme. J'étais stupéfaite de voir autant de clients chaque jour. C'est tellement enrichissant !
Je suis revenue enchantée.Et y est retournée 2 ans de suite.
Emerveillée par l'équitation allemande. J'ai beaucoup appris durant ces deux séjours. Outre la langue, j'en retiens la rigueur du travail allemand, et ne cesse de me repéter tel le faisait Marc "Arbeit ! Arbeit ! " 
Marc et moi sommes toujours en contact, je pense d'ailleurs y retourner cette année. 









 

Jos Kumps

 Ma rencontre avec Jos eut lieu il y a maintenant deux ans, tout à fait par hasard. Aprés mon premier stage dans ses écuries, à Thorambais en Belgique, ce grand homme, si charismatique devint ma référence.
Vous décrire Jos Kumps serait m'atteler à un mythe. Qui-conque gravite dans le milieu équestre a au moins entendu parler une fois de ce "faiseur de champions" dont le carnet d'adresses affolerait n'importe quel paparazzi. C'est en effet l'entraineur le plus courtisé au monde.
Des récits fabuleux se transmettent à son sujet depuis prés de trois décennies. "Un cavalier extraordinaire qui a opté pour une carrière dans l'ombre", "Le meilleur préparateur de chevaux du monde" , "L'entraineur convoité par les stars et les princesses (Martina Hingis, la princesse  du Danemark..).
C'est également lui, qui a fait de Baloubet du Rouet le meilleur cheval du monde. Le seul cheval à avoir était sacré trois fois champion du monde avec Rodrigo Pessoa. 

J'ai la chance, depuis deux ans, de m'entrainer avec lui. Je vais chez lui chaque week-end, lorsqu'il n'y a pas de concours, ou quelques jours pendant mes vacances scolaires. Jos suit de prés mon évolution. Je l'appelle d'ailleurs aprés chaque compétition.

Mais bien plus qu'un entraineur. C'est à lui que je dois mon bonheur aujourd'hui. En effet, il y a un an, mes parents cherchaient, en vain, un moyen de m'offrir un cheval qui me permette de poursuivre mes progrés et de tourner dans de plus grosses épreuves. Constatant nos difficultés et nos mésaventures, Jos décida de nous donner un "petit coup de pouce".
Lors d'un week-end chez lui, Jos me fit monter son cheval Oxus, un fils de Baloubet du Rouet. Une banale leçon m'étais-je dit. En réalité cette leçon allait se transformer en la plus belle de mes journées.
Le soir, aprés une superbe leçon, Jos m'annonça que je n'allais pas repartir seule de ce weekend, Oxus repartirait avec moi. Et ce pour 8 mois, sans aucune contre partie. Oxus n'était pas un cheval facile, mais nous nous entendions bien. Ce n'est peut être pas le plus doué à la base, mais il travaille bien et est attachant. C'est comme avec les homme. Les plus doués dans le sport ont souvent un caractère prononcé, voire caractériels. Oxus a bien compris le jeu. Il a envi de bien faire.
Aprés 8 mois de travail chez moi et chez Jos, de concours, nous formions une équipe formidable. Nous avons donc vendu deux chevaux pour acheter Oxus. Depuis, nous ne cessons de progresser. Jos suit de trés près notre parcours.
L'avenir nous dira la suite de cette histoire...





Jos et moi lors de la reconnaissance du grand prix de Chantilly





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